Chargé de projet Mobilité Douce
D’où je viens ?
J’ai grandi dans le Chablais en Haute-Savoie, entre lac et montagne, puis je suis parti faire mes études en école d’ingénieur·e en Picardie, entre betterave et betterave, pour y étudier la mécanique pendant 5 ans.
Pourquoi j’ai rejoint le Campus ?
Tout d’abord j’avais à cœur de travailler dans une structure qui soit en phase avec mes valeurs, et où je pouvais me dire que mon travail avait un impact (à peu près) positif sur l’environnement/la société. Aussi je voulais tester la vie en collectif dans un éco-lieu, histoire de voir si ça me correspondait vraiment. Et surtout la bouffe est quand même sacrément bonne.
Quel est mon rôle ?
Après avoir passé 6 mois au Campus en tant que stagiaire BatEr (Bâtiment – Energie), puis 5 mois de bénévolat en tant que responsable « Sobriété Technique », me voilà de retour pour le projet Mobilité. L’objectif de mon travail est principalement d’organiser et animer des ateliers de réparation de vélo en itinérance sur le territoire, ce qui permettra aussi d’étudier quel usage ont les habitant·es de ce mode de transport, et comment il serait possible de le développer ensuite.
Mon mantra / Ma devise dans la vie
« Au pire on tente ? ».
La transition écologique et sociale, en une phrase ?
Essayer de faire un truc censé dans un système absurde, à savoir tendre vers un monde respectueux des limites planétaires tout en proposant des conditions de vie décentes aux humains, sans distinction, sans discrimination aucune (c’est pas gagné gagné).
