Fervente de savoirs et de connaissances, Elaïne compte deux doubles diplômes à son actif. Après une double licence en « Mathématiques et informatique appliquées et sciences sociales », elle poursuit son parcours universitaire avec un double master en « Sciences et Politiques Environnementales ». C’est grâce au cours de Cécile Renouard qu’elle découvre le Campus de la Transition. Elle ne tarde pas à s’engager avec dynamisme auprès de l’équipe du projet FORTES pour une activité de huit mois. Véritable couteau suisse, elle accompagne aujourd’hui la Présidente de l’association en tant que chargée de mission. Un soutien précieux dont la personnalité positive et le sens de la collaboration sont grandement estimés.
Découvrez son portrait au travers du questionnaire de Proust !
Le principal trait de mon caractère ?
L’enthousiasme et la spontanéité (ça fait deux, je sais…)
La qualité que je préfère chez les autres ?
L’humour et la sincérité (encore deux… désolée, j’ai du mal à choisir !)
Ce que je déteste par-dessus tout ?
La condescendance.
Mon occupation préférée ?
Marcher et observer les montagnes !
Mon rêve de bonheur ?
Vivre dans une société où riment simplicité et sobriété,
et surtout vivre avec mes ami.e.s dans le même village (au hasard quelque part en Auvergne-Rhône-Alpes ou dans la ville de Joigny). Ce serait vraiment génial, je ne désespère pas – c’est d’ailleurs déjà un peu en route !
Si j’étais une fleur, je serais…
Un tournesol !
Si j’étais un animal…
Une cigale joviale (d’après le jeu Totem).
Mes artistes favoris ?
Queen, John Williams et Marie Patpat pour la musique, Monet et mon papa pour la peinture, Victor Hugo pour la littérature…
Mes héros dans la fiction ?
Le Petit Prince, Peter Pan, Pikachu, Clark Kent.
…et dans la vie réelle ?
Pas des “héros”, mais des personnes que j’admire oui, notamment Tenzin Gyatso (le Dalaï-Lama) et Simone Veil.
La réforme que j’estime le plus ?
L’abolition de la peine de mort.
J’ai assisté en 2015 à un intervention de Robert Badinter qui avait affirmé « qu’on ne pouvait pas priver quelqu’un de la possibilité de devenir meilleur ». Cette phrase m’a véritablement marquée : qui sommes nous pour décider qui peut vivre et qui doit mourir ?!
Ma devise ?
Suis ton cœur et ne regrette rien 🙂
– Petit clin d’œil à l’équipe de jeu d’Hanabi –
J’ai connu le Campus en faisant…
en allant en cours. Aucun regret d’avoir été studieuse donc !
Plus concrètement, je suivais le cours « Quelle éthique pour la transition écologique et sociale ? » enseigné par Cécile. C’était en 2019 déjà !
Ce que je recherche au Campus, c’est…
au départ, une expérience similaire à celle que j’avais pu vivre lorsque j’étais en internat mais avec la couche environnement/transition en plus.
Ce qui m’a le plus surpris au Campus, c’est…
la force du collectif, que j’ai vraiment pu vivre lorsque j’habitais au Campus en 2020.
Les bâtiments des communs aussi.
Ce que m’a surtout apporté le Campus, c’est…
des questionnements sur les habitudes, les normes, les façons de faire/vivre, et de nombreuses réflexions sur les alternatives possibles, envisageables, souhaitables… je ne vous cache pas que je voue un culte aux toilettes sèches de manière assez irrationnelle ! Également une confiance dans le mode de vie que je défends.
Et aussi des amies et amis, une deuxième famille, c’est très précieux.
Merci le Campus !
Le mot qui me vient quand je pense à l’avenir, c’est…
chemin.
Ce que j’apprécie le plus chez mes ami.es ?
Leur présence et leur authenticité (toujours deux…) !
Le don de la nature que je voudrais avoir ?
Voler pour survoler les chaînes de montagnes en toute saison !