Portrait du mois : Christophe Goupil


Christophe Goupil a rejoint le Campus en 2018. Il assure depuis son arrivée les fonctions de conseiller scientifique, et également coordinateur du collectif FORTES, à l’origine du Manuel de la Grande Transition et de la collection des Petits manuels de la Grande Transition. Les enjeux de la crise écologique l’ont mené à diriger ses travaux vers la compréhension des mécanismes de conversion thermodynamique de l’énergie, et des points de fonctionnement des systèmes, vivant et non-vivant. C’est en créant des liens entre diverses communautés de biologistes, médecins, architectes et économistes, qu’il mène ses activités de recherche et d’enseignement, notamment à l’Université Paris-Diderot. Ses interventions viennent régulièrement nourrir les formations du Campus.

Découvrez son portrait au travers du questionnaire de Proust !

Le principal trait de mon caractère ?

La curiosité. 

La qualité que je préfère chez les autres ?

L’économie de moyens.

Ce que je déteste par-dessus tout ?

Le bavardage. 

Mon occupation préférée ?

Concevoir, puis construire des enceintes de HIFI, puis écouter…

Mon rêve de bonheur ?

Une grande maison avec un atelier et une serre, et de la place pour accueillir qui vient.

Si j’étais une fleur, je serais…

Un brin de lin, avec brièvement, sa fleur bleue. 

Si j’étais un animal…

Un ours. 

Mes artistes favoris ?

Jean-Pierre Schneider. 

Mes héros dans la fiction ?

Calvin et Hobbes.

…et dans la vie réelle ?

Ernest Shackleton. 

La réforme que j’estime le plus ?

L’instruction obligatoire en 1882 par Jules Ferry. 

Ma devise ?

La réponse est oui, quelle est la question ?

J’ai connu le Campus en faisant…

Xavier Ricard m’a attrapé un jour et m’a amené là. Merci Xavier !

Ce que je recherche au Campus, c’est…

Le barattage des expériences et des récits, pour enfin construire le récit commun.

Ce qui m’a le plus surpris au Campus, c’est…

Voilà enfin en lieu ou l’interdisciplinarité n’est pas qu’un mot ventru.

Ce que m’a surtout apporté le Campus, c’est…

Cela est donc possible ?

Le mot qui me vient quand je pense à l’avenir, c’est…

Demain ne m’appartient pas.

Ce que j’apprécie le plus chez mes amis ?

Leurs yeux et leur sourire.

Le don de la nature que je voudrais avoir ?

La résilience.

Mes poètes préférés ?

Angelus Silesius.

Ajouter un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut