Portrait du mois : David Ries


Originaire du Luxembourg, David a suivi un parcours universitaire en sciences sociales à Paris. Aujourd’hui, c’est au Campus de la Transition qu’il a choisi de poser ses valises pour une mission de service civique. Durant ces quelques mois, il apporte son soutien pour coordonner le collectif FORTES dans la rédaction et la publication des Petits Manuels de la Grande Transition. Au quotidien, il incarne sa devise : « Quand une multitude de petits gens dans une multitude de petits lieux changent une multitude de petites choses, ils peuvent changer la face du monde. »

Découvrez son portrait au travers du questionnaire de Proust !

Le principal trait de mon caractère ?

L’optimisme.

La qualité que je préfère chez les autres ?

L’authenticité.

Ce que je déteste par-dessus tout ?

L’hypocrisie.

Mon occupation préférée ?

La natation (sauf quand les longueurs sont surchargées).

Mon rêve de bonheur ?

Un monde fraternel (l’adjectif est à comprendre comme incluant sœurs et frères).

Si j’étais une fleur, je serais…

Un tournesol.

Si j’étais un animal…

Un dauphin.

Mes artistes favoris ?

The Wombats, Jungle by Night.

Mes héros dans la fiction ?

Batman, Neville Longbottom, Indiana Jones.

…et dans la vie réelle ?

Sophie Scholl, Janusz Korczak.

La réforme que j’estime le plus ?

La création de l’Union Européenne (pour les valeurs et les avantages pratiques).

Ma devise ?

« Quand une multitude de petits gens dans une multitude de petits lieux changent une multitude de petites choses ils peuvent changer la face du monde ».

J’ai connu le Campus…

En m’engageant dans des réseaux de jeunes et des milieux associatifs.

Ce que je recherche au Campus, c’est…

La complémentarité « think global, act local ». Un travail académique qui fait du sens.

Ce qui m’a le plus surpris au Campus, c’est…

La volonté de chacun.e d’apporter sa pierre à l’édifice.

Ce que m’a surtout apporté le Campus, c’est…

La tolérance, la patience et l’humilité.

Le don de la nature que je voudrais avoir ?

La patience d’un arbre qui voit passer de multiples générations.

Mes poètes préférés ?

Sarah Nguyen, Timothée Vernier 😉

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